Le viol d’une jeune fille de 3 ans dans la journée du jeudi 11 février 2021 aux environs de 14 heures dans la préfecture de Kouroussa (Guinée), résonne comme un écho aux quatre coins de la planète.
Cet acte ignoble commis par un quadragénaire à l’absence des parents de la fillette n’a pas laissé insensible les internautes. À peine la nouvelle apprise, une vague d’indignation a retenti sur les réseaux sociaux. Quatre étudiant.es africain.es ont décidé de briser le silence à travers une note.
Ce sont : Facinet Camara, élève au barreau de Paris (Guinéen), Siraj Shehrazad, étudiante en Master communication politique et institutionnelle (Franco-marocaine), Lucien Blémou étudiant en master communication politique et institutionnelle (Guinéen) et Fatoumata Kouyaté, étudiante en Master communication politique, médias d’influence et lobbying (Guinéenne).
Cette note conjointe est un appel à la prévention, la protection et surtout la dénonciation des cas de viol qui se terrent sous un silence coupable.
Depuis sa publication, les témoignages ne cessent de fuser partout sur les réseaux sociaux via le Hashtag #BTVGN (Pour balance ton violeur Guinée).
Parler et dénoncer c’est déjà lutter contre le viol.
Note ci-contre :
