48h après le gros déballage de l’artiste King Alasko, l’auteur de l’album « Allah nou Wali » chez nos confrères du média Sitanews.com dans lequel il accuse le label Meurs Libre Prod (MLP) de l’avoir exploité et manipulé, c’est au tour de son « ancien » label de briser le silence sur ce sujet aussi brûlant qui fait la une dans la cité.
Pour mieux s’exprimer là-dessus, les responsables dudit label ont animé un point de presse, ce lundi 27 décembre sous le chapiteau du palais du peuple, pour éclairer la lanterne de l’opinion publique sur cette affaire.
Dans son intervention, Ablaye M’baye (Skandal), directeur dudit label, a commencé par rappeler qu’ils ne sont pas là pour faire le procès de King Alasko, tout en rappelant l’objectif de leur label qui vise à mettre en valeur : « l’objectif pour nous, en allant avec un artiste, c’est de pouvoir le mettre en valeur, faire qu’il soit grand, qu’il puisse représenter et faire représenter le pays », a affirmé Ablaye M’baye.
Sur le contrat proprement dit, Skandal n’a pas manqué de dédouaner son ancien artiste. Dans ses explications, il affirme « Le contrat est pour une durée de 8 ans et le contrat a été signé à le 14 avril 2020, après la résiliation du premier concert».
Pour ce qui est des 25 millions que King Alsako a affirmé avoir reçu de la part de son label MLP, Skandal s’explique et confirme les faits en précisant : la «redevance de 25 millions est pour le premier concert, c’est ce qu’on a dit et ce qu’on signé avec Alasko, cela a été respecté..»
Nous y reviendrons !
Mohamed Sylla
